Secularity and the proof of identities
RÉSUMÉ
La vague d’attentats commis en janvier 2015 par des jeunes français se réclamant de l’islamisme djihadiste a produit un fort sentiment d’angoisse et d’inquiétude. Ces violences terroristes ont aussi réactivé de nombreuses questions politiques, identitaires, voire existentielles dans l’ensemble de la société française et particulièrement dans le monde social et éducatif. Les professionnels de l’action sociale et éducative, en effet, ont directement été interpelés par cette remise en cause brutale et sanglante de la liberté d’expression et de la laïcité.
ANNONCE
La vague d’attentats commis en janvier 2015 par des jeunes français se réclamant de l’islamisme djihadiste a produit un fort sentiment d’angoisse et d’inquiétude. Ces violences terroristes ont aussi réactivé de nombreuses questions politiques, identitaires, voire existentielles dans l’ensemble de la société française et particulièrement dans le monde social et éducatif. Les professionnels de l’action sociale et éducative, en effet, ont directement été interpelés par cette remise en cause brutale et sanglante de la liberté d’expression et de la laïcité.
Suite aux attentats de janvier, dans la pratique, comment les éducateurs, travailleurs sociaux et pédagogues doivent-ils interpréter ces violences et leurs conséquences ? Ces professionnels doivent-ils réaffirmer la laïcité associée au « modèle d’intégration républicain » ou bien le réinventer en fonction de nouvelles réalités sociodémographiques et politiques ?
La laïcité dépasse la seule question religieuse puisqu’elle concerne les droits de l’homme, la vie démocratique (séparation du politique et du religieux), l’égalité (autonomie de l’individu égal en droit) et l’éducation (culture du doute et curiosité fraternelle à l’égard d’autrui).
Face aux enjeux extrêmement importants que révèlent les conflits, les antagonismes ; quelquefois les violences identitaires pour l’avenir du lien social, pour dépasser des discours intégrationnistes incantatoires, les acteurs sociaux et éducatifs ont-ils des solutions pour faire vivre le principe de laïcité, autrement dit, faire vivre ensemble des sensibilités plurielles ? Comment ne pas nier le fait religieux (et anti clérical) dans la construction identitaire des individus et des groupes sans pour autant lui donner trop d’importance risquant ainsi de nier d’autres prismes identitaires (citoyenneté, classe sociale, sexe, profession…) ? Comment ne pas nier la diversité culturelle sans pour autant participer au réductionnisme culturel ?
L’objectif de ces séminaires organisés par le P2RIS est d’interroger les enjeux actuels du principe de la laïcité confronté au retour des « identités meurtrières ».
Le Pôle Ressource « Recherche – Formation » de l’Intervention Sociale en Haute-Normandie (P2RIS), animé par l’Institut de Développement Social de Haute-Normandie, répond aux préoccupations de l’État et de la Région de promouvoir une initiative partenariale régionale favorisant l’articulation des activités de recherche, de formation et d’animation du milieu professionnel dans le champ social. En vue d’améliorer l’offre régionale de recherche et de formation en travail social, il s’agit de :
13h30>16h30
Cette conférence traitera, à partir des outils de l’histoire des représentations politiques et culturelles, de la manière dont les Français ont perçu les étrangers à travers le temps. La question des préjugés et des stéréotypes sera au centre de la réflexion dans la mesure où il s’agira de mettre en lumière les différents contextes qui provoquent la désignation de boucs émissaires dans des contextes spécifiques. En mettant l’accent sur les différents supports qui structurent les préjugés il conviendra d’évoquer les manifestations du rejet : violences verbales, affrontements, faits divers. Parmi ces figures de l’altérité, l’une d’entre elle sera privilégiée dans un second temps : celle de l’«Arabe» qui a structuré l’imaginaire public sur le temps long. A l’appui d’extraits d’archives de l’INA, le but sera de saisir quelques temps forts de ces représentations, à l’aune de la colonisation/décolonisation.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 9 oct. 2015 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
Un triptyque résume les principes de la laïcité: liberté-égalité-universalité. Liberté de conscience, égalité de droits sans distinction d’options spirituelles, universalité des buts de la puissance publique. Ce triptyque est proche de la devise républicaine, l’universalité du bien commun à tous étant une forme de fraternité, ou si l’on veut un fondement de fraternité. Ainsi, les divers croyants et les humanistes athées ou agnostiques jouissent d’une égale liberté pour affirmer leurs convictions, et s’inscrivent dans un cadre public, commun à tous, promoteur du seul intérêt général. Tel est l’idéal laïque.
A l’heure où des populations très diverses se mêlent et se fondent dans les communautés nationales comme dans des creusets, il est devenu impératif de trouver le moyen de faire vivre la diversité sans renoncer à l’unité. Comme on le voit, la laïcité peut y pourvoir remarquablement, à condition que l’injustice sociale ou les discriminations racistes ou xénophobes ne brouillent pas l’image de la République. La laïcité ne se réduit pas à une simple sécularisation, car elle unit en émancipant.
Cette conférence est conçue pour aborder les questions vives de la laïcité, et rappeler les principes propres à éclairer les problèmes concrets.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 13 nov. 2015 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
La Laïcité, principe indispensable d’une société démocratique ? CREAL 76, Comité de Réflexion et d’action laïque de Seine-Maritime
www.asso76.com/creal76
Alors que la laïcité scolaire avait déjà été établie, la République française se déclare laïque par la promulgation de la loi de Séparation des Eglises et de l’État du 9 décembre 1905. Paradoxe, le mot « laïcité » n’y est jamais formulé. C’est la constitution de 1946 qui l’officialise dans son article 1 : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. »
Fréquemment réduite à la question scolaire et malmenée pendant des décennies, la laïcité, principe émancipateur, est, depuis quelques années, plus souvent invoquée pour contraindre que pour ouvrir de nouveaux espaces de liberté. Mais, au fait, qu’est-ce que la laïcité ?
Le film « Et la Laïcité dans tout ça ? » de Philomène Esposito et Alexandre Le Guienne ouvrira le séminaire. Ce documentaire présente plusieurs situations concrètes, actuelles, où le principe de laïcité est remis en cause : culture, santé, périscolaire… Des intervenants expriment leurs points de vue et leurs analyses sur chacun des domaines abordés. Leurs avis contrastés, parfois contradictoires, nous permettront de lancer le débat…
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 4 déc. 2015 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
Inégalités, solidarité, François DUBET, Professeur émérite – Université de Bordeaux – Directeur d’Etudes à l’EHESS0
Les inégalités sociales ne se définissent pas leur ampleur et par leur nature structurelle, elles sont aussi des expériences sociales. Aujourd’hui, les inégalités mettent en cause de délitement des liens de solidarité, des conceptions de l’interdépendance des acteurs, et des imaginaires politiques et symboliques. C’est pour cela que l’expérience des inégalités engendre des appels à la nation et aux communautés, et à la défense de certaines inégalités tenues pour «justes».
Comment refonder les mécanismes et les imaginaires de la solidarité indispensables à la réduction des inégalités ?
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 15 jan. 2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
J1 : 09h>17h
J2 : 09h>17h
La laïcité à l’épreuve des identités. Enjeux professionnels et pédagogiques dans le champ social et éducatif
Ce colloque est organisé par le « pôle ressource recherche de l’intervention sociale en Haute Normandie » (P2RIS) en partenariat avec l’Institut du Développement Social, l’Université de Rouen (UFR SHS), l’ESPE (Académie de Rouen) et l’Association des Chercheurs des Organismes de la Formation et de l’Intervention Sociales (ACOFIS)
La vague d’attentats commis en janvier 2015 par des jeunes français se réclamant de l’islamisme djihadiste a produit un fort sentiment d’angoisse et d’inquiétude. Ces violences terroristes ont aussi engendré de nombreuses questions politiques, identitaires, voire existentielles dans l’ensemble de la société française et particulièrement dans le monde social et éducatif. Les professionnels de l’action sociale et éducative, en effet, ont directement été interpelés par cette remise en cause brutale et sanglante de la liberté d’expression et de la laïcité. Dans ce contexte, l’objectif de ce colloque est alors d’interroger les enjeux actuels de la laïcité à partir des pratiques des professionnels du champ social et éducatif (travailleurs sociaux, enseignants, animateurs, médiateurs, acteurs associatifs, agents des collectivités publiques, etc.) qui, en tant qu’acteurs de la laïcité, font aujourd’hui face à sa remise en cause par l’intermédiaire, notamment, de manifestations et revendications identitaires.
Suite aux attentats de janvier, dans la pratique, comment les éducateurs, travailleurs sociaux et pédagogues doivent-ils interpréter ces violences et leurs conséquences, notamment le fait que de nombreux jeunes, dont beaucoup issus des quartiers populaires, aient refusé de respecter la minute de silence en hommage aux journalistes de Charlie Hebdo et aux clients d’un supermarché casher assassinés par les terroristes ? Ces professionnels doivent-ils réaffirmer la laïcité associée au « modèle d’intégration républicain » ou bien le réinventer en fonction de nouvelles réalités sociodémographiques et politiques ? Mais au-delà de ces questions concrètes et brûlantes, plus globalement, à quels types de situations et problèmes les intervenants sociaux et éducatifs sont-ils confrontés ? Comment ces situations interrogent-elles leurs pratiques, leur éthique et leur déontologie ? A quelles injonctions paradoxales et dilemmes sont-ils confrontés ? Comment s’y prennent-ils pour lutter contre les formes de hiérarchisation des victimes qui conduisent aux processus de stigmatisation, de mépris, de racisation et de déshumanisation ? Comment interviennent-ils pour combattre les phénomènes de séparation culturelle et communautaire ? Comment les professionnels sociaux et éducatifs agissent-ils pour prévenir les phénomènes de radicalisation, de violence religieuse et politique ? Outre un discours incantatoire ; « intégrez-vous ! », sur quelles ressources s’appuient-ils pour maintenir le lien social et faire société ? Comme l’écrit Michel Wieviorka (2015 : 25), « les frustrations et le ressentiment se sont exacerbés à partir du moment où des intellectuels et des responsables politiques ont mis en avant un discours républicain qu’ils assortissent d’injonctions à l’intégration, alors même que les moyens réels de cette intégration font défaut. » Face à la violence qui est souvent liée à un déficit d’estime de soi et de prise en compte de la dignité des personnes, les acteurs sociaux et éducatifs ont-ils la capacité à aider les jeunes à conflictualiser, voire à politiser leurs demandes sociales et culturelles, souvent non traitées politiquement ? Mais présentons d’abord le contexte socio-historique de ce colloque.
Appel à communication sur http://www.p2ris-haute-normandie.fr
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 15 jan.2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
Immigration, intégration et laïcité, Catherine WIHTOL de WENDEN, Directrice de recherche au CNRS (CERI, Sciences-Po)
L’intervention suivra une approche socio-historique et politique du contexte français depuis le milieu du dix-neuvième siècle à nos jours, en insistant sur les enjeux présents, européens et mondiaux et sur les débats en cours. L’actualité des révolutions arabes, du terrorisme international et national (Charlie hebdo), mais aussi les débats amenés par l’extrême droite sur l’identité ont ravivé toute une série de questionnements sur les notions essentielles mais parfois floues d’intégration, de laïcité et de vivre ensemble. L’exposé s’appuiera sur des travaux réalisés sous la forme d’ouvrages comme La beurgeoisie. Les trois âges de la vie associative civique issue de l’immigration (2001), Les couleurs du drapeau. L’armée française face aux discriminations (enquête sur l’armée française, 2007) et les discriminations policières (Policing the inner cities, 2014), trois ouvrages co-écrits à deux.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 22 avr. 2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
Dès le début des années 2000, dans un contexte sécuritaire et répressif qui se renforce au niveau international, nombreuses furent les voix politiques, militantes ou académiques à proclamer la mort annoncée du multiculturalisme. Un discours « civilisationnel », s’il n’épuise pas les critiques qui lui furent adressées, ne les a pas moins fortement étayées, confrontant les valeurs démocratiques revendiquées d’égalité et de tolérance à des figures d’altérité supputées d’emblée barbares et intolérantes. En prenant appui sur deux questions sociologiques qui dans la période récente ont fait l’objet d’une publicisation importante – celle de l’islamophobie et celle des « Roms migrants » – nous verrons en quoi elles exemplifient, chacune à sa manière, une représentation privilégiée de l’altérité sous les figures du danger, de la « pollution » et de la « menace », en racialisant les sujets et les individus et en les excluant de fait des efforts de reconnaissance ici et là entrepris. Si ces tendances furent antérieures à 2015 (comme le montrent tant les débats sur l’islamophobie que la construction d’une « question rom » lancinante), elles trouvent de nouveaux terrains d’expression et de résonnance dans la France de l’après Charlie qu’il s’agira d’interroger.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 20 mai 2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
La crise économique ne suffit pas à expliquer le malaise français. Face aux bouleversements de l’ordre du monde et aux difficultés du pays, la montée du populisme et du Front national témoigne d’une inquiétude identitaire et culturelle. Comment vivre ensemble malgré nos différences ?
Laurent Bouvet, spécialiste des doctrines politiques et observateur attentif de la vie politique, examine l’origine de cette angoisse et ses effets. En décortiquant les représentations, vraies ou fausses, que nos concitoyens se font de la mondialisation, de l’Europe, de l’immigration, de l’islam ou des élites, il montre comment des dimensions culturelles se mêlent étroitement aux conditions matérielles.
Rompant avec l’aveuglement et le conformisme, Laurent Bouvet propose des pistes pour combattre ce mal qui ronge la société française : l’insécurité culturelle.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 17 juin 2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
Politiques d’intégration en Europe : une convergence vers de nouveaux modes de régulation ? Claudio BOLZMAN, Professeur, Haute école de travail social, HES-SO-Genève
Historiquement les politiques d’intégration des Etats européens portaient la marque des logiques différenciées, liées à la construction de l’Etat-nation et du rapport à l’Autre qui leur étaient spécifiques. Or, depuis les années 2000s on observe quelques convergences dans ces politiques, marquées par une tendance à la contractualisation, à l’activation et à la responsabilisation individuelle des migrants. Cette présentation s’attachera à mettre en évidence les transformations les plus marquantes de ces politiques, à proposer quelques pistes explicatives, ainsi qu’à noter certains effets sur les trajectoires des migrants et sur les formes de vivre ensemble.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 9 sept.2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
La laïcité au cœur des réponses judicaires pour prévenir et lutter contre la radicalisation, Auriane COLOMBEL, Directrice du Service Territorial de Milieu Ouvert et d’Insertion (STEMOI, service PJJ) de DIEPPE ; Sébastien FEVRIER, Conseiller technique, «Référent laïcité et citoyenneté» à la Direction Territoriale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (DTPJJ – Haute-Normandie) ; Edouard ROTTIER, Juge des Enfants au Tribunal de Grande Instance de DIEPPE
Une partie, particulièrement vulnérable, du public pris en charge dans le cadre des missions confiées à la PJJ est potentiellement exposée au phénomène de radicalisation. Une formation spécifique est proposée par l’Ecole Nationale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (ENPJJ) et une Mission Nationale de Veille et d’Information (MNVI) a été créée pour soutenir les professionnels du secteur public et du secteur associatif habilité dans leur intervention auprès des mineurs et jeunes majeurs confiés. Elles visent à améliorer la prévention, l’évaluation et la prise en charge. Des partenariats sont également développés dans le cadre ce plan national de lutte contre la radicalisation.
Nous proposons de prendre appui sur le travail conduit dans les services pour le respect de la laïcité et du principe de neutralité et pour l’éducation à la citoyenneté et d’exposer la situation d’un mineur confronté à l’emprise sectaire.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 9 nov. 2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
13h30>16h30
Relations de genre et ghettos urbains, Didier LAPEYRONNIE, Sociologue, professeur de sociologie – Université Paris-Sorbonne – Paris IV
Ces dernières années, la situation des femmes dans les cités de banlieues a fait l’objet d’évolutions paradoxales : elles sont plus directement victimes des processus de repli, de la pauvreté et du chômage, de la violence aussi ; mais en même temps, elles sont plus actives que les hommes et plus présentes dans la vie collective. Ce sont des femmes qui ont mené les principales actions ou luttes dans les quartiers. Pourtant, alors que les jeunes garçons ou les familles ont souvent été étudiés, les femmes n’ont pas fait l’objet d’autant d’attention et d’interrogations, et notamment le rôle majeur qu’elles jouent au sein de ces quartiers. Or avec les évolutions récentes des cités et l’impact important de la crise économique sur les individus et les familles, la question de la place des femmes et de leurs actions a pris encore plus d’importance : le paradoxe de leur situation semble s’être aggravé et de ce fait, elles apparaissent comme les seules capables de faire face aux conséquences de la crise, à fabriquer de la solidarité et à se mobiliser collectivement. Elles sont le point d’appui central de toute politique dans les cités. Ces raisons à la fois sociologiques et politiques justifient que l’on se penche de manière précise sur leur condition dans les cités de banlieue : les rapports entre les genres sont au cœur du fonctionnement du ghetto, les femmes en sont à la fois les premières victimes mais en même temps les premières actrices.
L’inscription est gratuite et obligatoire avant le 2 déc. 2016 sur le site de l’IDS – www.ids.fr
Les inscriptions sont obligatoires
En ligne : www.ids.fr
ou : www.p2ris-haute-normandie.fr
Par mail : contact@p2ris.fr
Par téléphone : (0033) 2 32 83 25 51
(entrée gratuite)
Ces conférences et séminaires sont organisés par le « pôle ressource recherche de l’intervention sociale en Haute Normandie » (P2RIS) avec l’Institut du Développement Social en partenariat avec l’Association des chercheurs des organismes de la formation et de l’intervention sociales (ACOFIS).
CATÉGORIES
LIEUX
DATES
FICHIERS ATTACHÉS
MOTS-CLÉS
CONTACTS
SOURCE DE L’INFORMATION
POUR CITER CETTE ANNONCE
« La laïcité à l’épreuve des identités », Cycle de conférences, Calenda, Publié le jeudi 24 septembre 2015, http://calenda.org/339606
09 – 10 juin 2022 Université de Cordoue, Facultad de Filosofía y Letras Córdoba, Espagne La douzième conférence internationale sur la religion et la spiritualité... En lire plus
Le 3è congrès international de PLURIEL, sur le thème « Islam et altérité » se déroulera à Beyrouth, du lundi 23 mai au vendredi 27 mai 2022... En lire plus
22, rue Charles Michels
93200 Saint-Denis
Tél : 0148201515
E-mail : contact@cerii.fr